Comment éviter le diabète de type II

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La prévalence du diabète de type II a augmenté de telle sorte ces trente dernières années que cette pathologie est considérée aujourd’hui comme une épidémie en occident. Réservé autrefois aux personnes âgées, d’une fréquence assez modeste et devenu aujourd’hui un mal chronique, le diabète affecte des personnes de tous âges, races et origines et devient à présent une cause majeure de décès prématuré avec une personne mourant toutes les dix secondes de diabète de type II dans le monde. Responsable d’insuffisances rénales, d’amputations des membres inférieurs et de cécité dans les pays industrialisés, ainsi que d’une plus grande probabilité d’accidents cardiaques mortels, le diabète est un fléau des temps modernes. Ses effets nuisibles progressifs détruisent la qualité de vie bien avant de causer une mort prématurée. C’est d’autant plus grave que la plupart des cas de diabète de type II auraient pu être évités et guéris, là où le diabète de type I "est incurable", car fréquemment héréditaire ou dû à un pancréas malade. Cet article se préoccupe des moyens de vous faire éviter un diabète de type II, avec une attention particulière portée sur des comportements à risques (obésité, tabagie, boulimie, une alimentation trop sucrée et trop grasse, l’ignorance des symptômes et l’assurance de les voir partir d’eux-mêmes…).

Étapes

  1. Remarquez qu’il existe différents types de diabète. Le diabète est la conséquence d’une perturbation dans la régulation du sucre dans l’organisme. Le glucose est une source d’énergie essentielle et se retrouve dans le sang après la digestion. L’insuline normalement produite par le pancréas aide le glucose à se propager dans l’organisme, dans le foie, les muscles et la graisse où il est métabolisé pour fournir de l’énergie. Il existe deux sortes de diabète : le type I et le type II. Environ dix pour cent des personnes atteintes ont le diabète de type I, là où le type II est plus courant. En bref, l’origine de ces diabètes est la suivante :
    • Le diabète de type I : cette pathologie provoque la destruction de plus de 90% des cellules qui fabriquent de l’insuline dans le pancréas, ce qui empêche le pancréas de produire de l’insuline ou en produit très peu. Ce type de diabète se déclenche avant l’âge de trente ans ; il peut provenir d’un facteur environnemental ou d’une prédisposition génétique.
    • Le diabète de type II : tandis que le pancréas continue à fabriquer de l’insuline, ou en fabrique même davantage, l’organisme développe une résistance à l’insuline, ce qui provoque une pénurie d’insuline pour les besoins du corps ; le taux de glycémie dans le sang reste constamment très élevé. Si ce type de diabète peut frapper des enfants et des adolescents, il se déclenche habituellement chez des personnes de plus de trente ans et devient assez courant chez des personnes âgées. Il a tendance à se propager dans une même famille et environ 15% des plus de 70 ans souffrent de diabète de type II. Ce type de diabète peut ne présenter aucun symptôme pendant des années, voire des décennies avant d’être diagnostiqué, mais la santé peut être compromise sans bruit et atteindre un pic bien avant que l’on ne s’adresse à un médecin. Prenez garde à certains indices...
    • Le diabète gestationnel se développe pendant la grossesse. Laissé sans diagnostic et/ou sans soins, il peut provoquer de sérieux dégâts chez la mère et l’enfant à venir. Souffrir d’un diabète gestationnel qui se résorbe après l’accouchement augmente la probabilité de développer un diabète de type II à un moment de votre vie et encourage une nouvelle crise lors d’une autre grossesse. Il augmente aussi la probabilité de l’ordre de 1,5 à 7,8 de souffrir d’un accident cardiovasculaire !
    • Le diabète résultant d’une opération chirurgicale, d’abus de drogues, de malnutrition, d’infections et autres maladies, de pathologies héréditaires (comme la mucoviscidose) qui pourraient provoquer un diabète totalise entre 1 et 2% des diabètes diagnostiqués. Le diabète dit « insipide » n’est pas corrélé au taux de glycémie sanguine. Il s’agit d’une maladie assez rare dont il ne sera pas question dans cet article.
  2. Tenez-vous informé. Les risques encourus et la dégradation de la qualité de vie via un diabète de type II peuvent vous motiver à éviter de prendre de mauvaises habitudes alimentaires. Les complications liées à la maladie se déclarent souvent assez vite, là où d’autres progressent lentement. Le genre de complications que vous pouvez rencontrer sont les suivantes :Les échanges sanguins sont appauvris sous la peau et dans les nerfs, des amas graisseux bouchent les artères (l‘artériosclérose), ce qui peut provoquer une crise cardiaque et un accident vasculaire cérébral, des crampes apparaissent en marchant, la vision est diminuée, une insuffisance rénale , les nerfs sont endommagés (avec une insensibilité, des douleurs et un dysfonctionnement des membres), une inflammation et des infections de la peau, des angines, des douleurs au niveau du cœur, etc.
    • Une surconsommation de fructose et d’autres produits sucrés est la première responsable pour le développement d’un diabète de type II. Néanmoins, le glucose sous toutes ses formes peut provoquer un diabète.
  3. Soyez vigilant en ce qui concerne les facteurs de risques de diabète présents dans votre existence. Il existe plusieurs facteurs qui augmentent la probabilité de contracter un diabète ; bien que vous ne puissiez pas agir sur certains d’entre eux (comme l’âge ou l’hérédité), vous pouvez le faire pour d’autres (comme l’alimentation et le sport). Les facteurs de risques pour un diabète de type II sont les suivants :
    • L’obésité – basée sur l’indice de masse corporelle, un IMC de plus de 29 augmente par quatre vos chances d’avoir du diabète.
    • Si vous avez plus de 45 ans. Remarquez que les femmes en pré ménopause sont probablement avantagées par leur taux d’oestrogènes en hausse qui les aide à éliminer les acides gras provocant la résistance à l’insuline et favorise une résorption rapide du glucose.
    • Si un proche, frère ou sœur, aïeul, oncle ou tante a ou a eu un diabète de type II. Cela peut induire une prédisposition génétique au diabète.
    • Un diagnostic de faiblesse cardiaque ou de cholestérol élevé. Les risques cardiovasculaires comprennent une tension élevée, un taux bas de bon cholestérol et un taux élevé de mauvais cholestérol ; une étude a démontré qu’une personne sur quatre souffrant de ces facteurs de risque en Europe était aussi pré diabétique.
    • Les personnes d’origine espagnole, africaine, asiatique et originaire du Pacifique voient doubler leurs chances de souffrir du diabète par rapport aux populations américaines blanches.
    • Près de 40% des femmes qui ont vécu un épisode diabétique pendant leur grossesse risquent de développer un diabète de type II plus tard dans leur vie.
    • Vous avez 23% de chances de développer un diabète si votre poids de naissance était inférieur à 3kg et 76% si votre poids était inférieur à 2,5kg.
    • Si votre alimentation est riche en sucre, en gras et en produits industriels.
    • Si vous faites peu ou pas du tout d’exercice – moins de trois fois par semaine.
  4. Agissez en amont. Une glycémie élevée peut être corrigée avant qu’elle ne provoque de dégâts sévères. Si vos facteurs de risque de diabète sont élevés, il est important de se faire contrôler régulièrement – l’analyse des urines et du sang suffisent – et d’y remédier en maîtrisant votre mode de vie. Si les examens révèlent un"pré diabète" (syndrome métabolique), cela signifie que vous avez de grandes chances d’être diagnostiqué avec un diabète de type II dans le futur. Si ce genre de verdict peut être effrayant, c’est aussi une opportunité de reprendre votre santé en main et de changer de mode de vie pour empêcher un diabète de type II de s’installer.
    • Un pré diabète est présent si votre glycémie est plus élevée que la normale. C’est l’indice d’un effondrement métabolique qui peut mener à un diabète de type II.
    • Un pré diabète est réversible. Les autorités de santé pour la lutte contre le diabète préviennent que s’il n’est pas traité, vous avez cent pour cent de chances d’avoir un diabète de type II dans les dix ans à venir.
    • Les autorités de santé recommandent à toute personne de plus de 45 ans en surpoids de procéder à un examen de dépistage du diabète.
  5. Changez vos habitudes alimentaires. Une alimentation riche en sucre, tout comme celle qui est riche en lipides accroît le risque de pré diabète et de développer un diabète de type II. Pour mettre toutes les chances de votre côté, réduire votre glycémie de pré diabète et recouvrer une parfaite santé, vous pouvez appliquer dès aujourd’hui quelques règles de diététique. Les suggestions diététiques suivantes se basent sur ce qu’il faut et ne faut pas faire.
    • Augmentez vos portions journalières de fruits et de légumes. Comptez prendre sept à neuf portions journalières de fruits et légumes. Ils peuvent être frais, congelés ou séchés, mais il est préférable de miser sur le plus de produits frais possibles. Réduisez votre consommation de légumes en boîte car ils sont souvent riches en sel.
      • Mangez des légumes verts (du brocoli, par exemple, des épinards, des choux de Bruxelles).
      • Choisissez des légumes orange (des carottes, des patates douces, de la citrouille et du topinambour).
      • Mangez des haricots et des légumes secs (des haricots noirs, des flageolets, des pois cassés, des lentilles).
    • Mangez des hydrates de carbone de qualité. Oubliez les pâtisseries, les gâteaux, les fritures et autres aliments industriels. En revanche, faites le plein d’hydrates de carbone sains – des fruits, des légumes, des céréales et des pains à base de farine complète. Choisissez des produits riches en fibres ; les fibres ont démontré leur capacité à réduire la glycémie en agissant comme une éponge qui ralentit le processus de digestion et la précipitation du glucose dans le sang.
      • Mangez des féculents complets, du riz complet, des céréales de petit-déjeuner qui contiennent 100% de produits complets, des pâtes complètes, etc.
      • Mangez des petits pains complets, de la pita et des tortillas complètes.
    • Cessez les boissons sucrées. Étanchez votre soif principalement avec de l’eau. Si vous doutez de sa qualité, procurez-vous un filtre. Les sodas, jus de fruits, les sirops, les eaux aromatisées et les boissons énergétiques sont tous des sources de sucres cachés dont votre corps n’a pas besoin. Gardez ces boissons pour des occasions spéciales et restez fidèle à l’eau, au lait écrémé ou au lait de soja, d’avoine ou d’amande sans sucre. L’eau minérale gazeuse est sans sucre ; un soupçon de jus de citron ou d’orange pressés suffit à aromatiser agréablement de l’eau. Le café et le thé conviennent aussi, avec modération et sans sucre. Soyez persévérant. Votre organisme réclamera d’abord des boissons sucrées jusqu’à ce que vous ayez perdu l’habitude de les prendre.
    • Cessez de grignoter des sucreries et des produits raffinés (comme ceux faits avec de la farine blanche), lesquels se transforment instantanément en sucre. Le sucre est présent dans des tas de grignotages, à commencer par les gâteaux, les pâtisseries, les confiseries et le chocolat ainsi que dans des produits moins évidents comme les barres de fruits et les yaourts sucrés. Le sucre est bon marché, il calme les fringales, tient lieu de remontant pour soulager les hypoglycémies de l’après-midi et appelle sans fin à consommer encore plus de produits énergisants à effet rapide. Prenez-vous un petit gâteau ou une sucrerie avec chaque café que vous buvez ? Cela s’additionne très vite. Ne conservez pas de friandises et n’en prenez pas quand vous en ressentez le besoin. Ayez plutôt des fruits, frais et secs à portée de main. Quelques noisettes remplacent avantageusement des chips et autres extrudés – elles sont aussi une bonne source de fibres, d’huiles essentielles et de protéines.
      • Surveillez tous les produits contenant du sucre, particulièrement les céréales du petit-déjeuner. Préférez des céréales à teneur en sucre réduite et qui sont complètes à 100%. Vous pouvez aussi les remplacer par des flocons d’avoine ou toute autre variante de céréales sans sucre. Faites votre propre Muesli.
    • Mangez moins de lipides. Consommez moins de 30% de lipides dans votre apport calorique journalier, dont moins de 10% de graisses saturées. Évitez absolument la consommation de mauvaises graisses. Ôtez le gras de la viande, consommez de la viande maigre et servez-vous d’huile mono saturée comme l’huile d’olive.
    • Réservez les produits gras et sucrés pour les occasions spéciales. L’accès facilité aux sucreries et aux produits gras donne l’impression de vivre une fête perpétuelle. La plupart d’entre nous ont perdu l’habitude de restreindre sa consommation de sucre et de gras et ont inclus ces produits dans l’alimentation de tous les jours. Autrefois, l’on ne pouvait apprécier ce large assortiment de douceurs qu’à des occasions spéciales, lors de fêtes de famille ou religieuses. L’attente des plaisirs à venir lors de telles occasions augmentait encore la saveur de telles douceurs ; de nos jours, il va de soi que l’on se récompense pour la première contrariété de la journée – "On m’a dit que mon boulot était nul ! J’ai besoin de chocolat !". Si nous ne pouvons pas (encore) remédier au rythme dément imposé à nos journées de travail et à notre vie privée, nous pouvons nous occuper de notre santé en ne nous servant pas de la nourriture comme d’une béquille pour supporter nos tensions et en gardant les aliments les plus riches pour des occasions spéciales à savourer.
  6. Si vous modifiez vos habitudes alimentaires dans le but d’avoir un mode de vie plus sain, vous perdrez du poids avec beaucoup plus de facilité que si vous vous concentrez d’une façon restrictive sur un "régime". Mangez sainement et bougez-vous et vos kilos en trop se mettront à fondre d’eux-mêmes. Le fait de garder à l’esprit de rester en bonne santé à vie a permis aux personnes en surpoids même important de diminuer de 70% le risque d’un diabète rien qu’en ne perdant que 5% de leur poids initial.
    • N’en faites pas un drame. Les"régimes" ont tendance à échouer car ils sont de courte durée et car nous voulons qu’il aient une "fin". Changer pour une alimentation saine est pour la vie et implique de supprimer progressivement les aliments qui augmentent les risques de maladie pour les remplacer par des aliments sains. Comme il s’agit d’un processus assez lent, votre organisme finit par s’habituer à une alimentation de qualité et vous l’apprécierez davantage sans les conservateurs, colorants, sucres, lipides et sels ajoutés.
  7. Les autorités de lutte contre le diabète ont démontré que les personnes qui avaient perdu entre 5 et 7 % de leur poids initial et avaient une activité physique d’au moins une demi-heure par jour avaient réduit de 58% le risque de développer un diabète ; par comparaison, les personnes qui réduisent ce risque via un traitement médical n’ont que 31% de chances d’y parvenir. Quel que soit votre poids, l’exercice physique joue un rôle important pour rester en bonne santé. Une surcharge pondérale excessive fait obstacle à l’assimilation correcte du glucose dans l’organisme. La bonne nouvelle est qu’une activité physique quotidienne de trente minutes qui augmente les pulsations cardiaques pendant un certain temps est un moyen formidable pour vous aider à éviter le diabète et pour vous faire garder un poids correct.
    • Promenez-vous pendant la pause du déjeuner. Si vous pouvez marcher pendant une demi-heure cinq jours par semaine, vous pourrez rester en forme et en bonne santé.
    • Évitez les embouteillages des heures de pointe en ayant une activité physique pendant ce temps. Rentrez chez vous un peu plus tard, vous serez plus détendu car le trafic routier se sera fluidifié.
    • Prenez un chien ou promenez plus souvent celui que vous possédez déjà – les chiens favorisent l’activité physique car ils sont une responsabilité et vous obligent à sortir.
    • Plutôt que de prendre la voiture, faites vos courses de proximité à pied. C’est faire preuve de bon sens que de s’y rendre à pied, sauf si vous devez transporter des articles lourds. C’est aussi un bon moyen de retrouver un ami ou un membre de la famille et de bavarder. Parler en marchant diminuera la longueur du trajet.
    • Rafraîchissez votre sélection de chansons sur votre iPod ou lecteur MP3. Trouvez l’excuse de marcher ou de courir pour écouter votre nouvelle sélection musicale.
  8. Refaites un examen sanguin. Voyez où en est votre taux de glycémie après avoir pris pendant six mois à un an de nouvelles habitudes alimentaires et sportives.
    • Faites-vous toujours suivre par votre médecin. Suivez ses recommandations.
    • Si vous avez besoin d’aide, envisagez de consulter un diététicien diplômé qui peut vous épauler pour élaborer un plan alimentaire.
  9. Envisagez de consulter un psychologue si vous souffrez de problèmes émotionnels qui vous poussent à trop manger ou à adopter un régime déséquilibré.
  10. Demandez à votre médecin s’il est possible de prendre de l’insuline pour faire baisser votre glycémie pendant votre sommeil (de jour comme de nuit) : ne prendre qu’un en-cas protéiné léger avant le coucher, surtout arrêter la consommation de nutriments non essentiels deux à trois heures avant de vous coucher, ne boire que de l’eau (pas d’alcool, pas de caféine ou d’autres stimulants) à ce moment-là et vous dire : "Je pourrai manger tout ça demain !"
    • Si vous prenez de l’insuline ou tout autre médicament contre le diabète et croyez que vous "devez grignoter" avant le coucher pour éviter une hypoglycémie dans la nuit – comment pouvez-vous "empêcher" ce surcroît d’insuline ? Demandez à votre médecin d’adapter à votre cas la posologie de votre traitement afin de ne plus "avoir besoin d’un en-cas tardif".
    • Si vous avez faim après le dîner – ces aliments "autorisés" contiennent peu voire pas de calories ni d’hydrates de carbone ; ainsi, "l’un d’eux" ne provoquera pas de prise de poids ni d’hyperglycémie. Choisissez un aliment "autorisé" , dans cette liste :
      • Une boîte de soda à l’aspartame
      • Une portion de gelée sans sucre
      • Cinq minis carottes
      • Deux biscuits apéritif salés
      • Une gaufrette à la vanille
      • Quatre amandes (ou fruit sec similaire)
      • Une gomme à mâcher ou un caramel dur...
    • Laissez à vos nerfs, à votre foie et à votre système digestif le temps de faire leur travail et de se reposer pour se régénérer en continuant l’assimilation du glucose pendant le sommeil ; le taux de glycémie est moins élevé dans le sang et ne va pas inonder le foie toute la nuit (ce qui régénère le foie aussi), etc.
  11. Dormez (avec un estomac presque vide !) au moins six heures et de préférence sept heures par nuit pour permettre aux nerfs et aux autres fonctions de se reposer. Cela va diminuer vos problèmes de diabète et de glycémie et va améliorer votre tension.
    • Si vous avez du mal à dormir, essayez un antihistaminique qui favorise la somnolence mais ne provoque pas de tension artérielle : il s’agit de chlorophéniramine maléate (n’utilisez pas de sirop antihistaminique sucré). La valériane possède un fort pouvoir relaxant – elle aide à l’endormissement et est reconnue pour apaiser les douleurs. Si vous vous réveillez trop tôt, buvez de l’eau et reprenez une dose de chaque produit, si vous avez respecté un intervalle de quatre heures avec la première prise. Prenez un complexe vitaminique à base de calcium, de magnésium, de vitamine D3, B et oméga 3 qui, combinées, procurent une bonne sensation de détente et bien d’autres bénéfices de santé ! Une "petite portion de protéines" peut favoriser l’endormissement – comme un blanc de dinde ou de poulet, ou mangez des amandes (plus de fibres !), des noix, des graines de tournesol ou de citrouille, des pistaches, des cacahuètes nature avec la peau (tous ces fruits secs contiennent aussi des huiles bénéfiques !).

Conseils

  • Prenez des rendez-vous réguliers chez votre médecin pour surveiller et prévenir les risques de diabète via des analyses d’urine et de sang. Programmez un rappel automatique des consultations sur votre téléphone ou sur votre calendrier en ligne pour être sûr de respecter les rendez-vous.
  • On a remarqué que les bébés nourris au sein développent moins volontiers un diabète de type I que ceux nourris au biberon.
  • "Le diabète mellitus" signifie "diabète sucré", faisant allusion au taux de glycémie élevé dans l’urine du patient.
  • Une étude néerlandaise a démontré que les hommes ayant une alimentation riche en pommes de terre, poisson, légumes et légumineuses ont moins de risque de développer un diabète. En dépit de la mauvaise réputation qui lui est toujours attribuée, la pomme de terre est d’une bonne valeur nutritionnelle si elle est cuite sans graisse ajoutée car elle est riche en hydrates de carbone complexes qui doivent se décomposer en sucres lents avant d’être assimilés par le sang, un facteur qui permet de garder une glycémie stable.

Avertissements

  • Un diabète non traité peut provoquer des accidents cardiaques parfois mortels. Si vous découvrez que vous avez une prédisposition au diabète ou si vous avez été diagnostiqué pré diabétique, procédez à un changement du mode de vie pour empêcher la maladie de s’installer et éviter de devoir l’affronter.
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