Comment supporter une belle mère difficile

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Si votre belle-mère vous blesse continuellement physiquement ou émotionnellement, cela peut avoir des conséquences durables sur votre mariage. Il existe différentes manières de gérer une belle-mère difficile pour vous protéger, ainsi que votre famille et votre avenir.

Éviter l'escalade

  1. Prenez de la distance. Pensez à elle comme à une connaissance et non comme votre « autre mère », sauf si bien sûr la relation est familiale, amicale et affectueuse. Ne l'appelez pas « maman ». Elle n'est pas votre mère. Vous êtes à égalité. Appelez-la par son prénom sauf si vous vivez dans un pays où cela n'est pas approprié. Dans ce cas, suivez la coutume pour vous adresser à elle de manière respectueuse et convenez ensemble du nom que vous lui donnez.
  2. Comprenez le problème. Il existe souvent différentes raisons pour lesquelles une belle-mère peut se montrer rude envers vous. Elle craint de perdre de l'importance aux yeux de son enfant (et continue de le voir comme tel plutôt qu'un(e) conjoint(e). Elle peut avoir des difficultés à rester à sa place. Elle peut aussi être totalement différente de vous. Comprendre pourquoi elle agit comme elle le fait vous aidera à mieux gérer le problème.
  3. Prenez de la distance physiquement. Vous n'avez pas besoin de partir à l'autre bout du pays, mais vous n'êtes pas tenu de participer à toutes les réunions familiales. Votre conjoint peut également assister à ces réunions sans vous. Cela pourrait également ressembler à une victoire pour votre belle-mère de pouvoir passer du temps avec son enfant sans avoir à vous supporter. Même si cela semble plus simple, vous pourriez rencontrer des problèmes futurs.
  4. Souvenez-vous qu'il est peu probable qu'elle change. Si votre belle-mère vous a critiqué, vous a fait du tort à l'égard d'autres membres de la famille et s'est montrée dédaigneuse envers vous, elle pourrait clairement vous donner le ton de la relation qu'elle entend mener avec vous. Si elle correspond à ce profil, gardez vos distances lorsqu'elle se montre gentille. Pour des conseils, de la gentillesse et un modèle, tournez-vous vers d'autres personnes. Vous pourriez avoir à l'effacer de votre vie en tant que personne positive de votre entourage.
  5. Reconnaissez et évitez les éléments déclencheurs. Avant d'entrer en contact avec la belle famille, imaginez le scénario qui risque de vous agacer. Que dit-on ou que fait-on qui vous fait bouillir ? Une fois que vous avez identifié ces éléments déclencheurs (qui ont tendance à être les mêmes qui se manifestent de manière différente), réfléchissez au meilleur moyen de les éviter.
  6. Ne laissez pas les choses s'envenimer. Si le conflit est inévitable, répondez honnêtement. Ne soyez pas rude, mais restez ferme et sans langue de bois. Souvenez-vous que malgré vos efforts, cette personne n'a pas montré de sympathie pour vos sentiments, quel que soit le problème. Ne laissez pas la peur de blesser vos proches vous empêcher de répondre de manière appropriée, car cela ne les a pas arrêtés.
  7. Ignorez la culpabilité. Si votre belle-mère tente de vous manipuler en vous culpabilisant, il est relativement facile de vous en défaire. Dès que vous sentez qu'elle essaye de vous manipuler, posez-lui directement la question « vous n'essayez quand même pas de me culpabiliser ? » Elle niera probablement, mais cela rejaillira de nouveau. Coupez court au motif de vous sentir coupable en amenant l'attention sur ses tactiques de manipulations émotionnelles. Ne vous montrez pas rude, mais arrêtez-la dans ses tentatives d'utiliser la culpabilité comme une arme.
    • Si vous refusez d'entrer dans son jeu de la culpabilité, cela vous permettra de voir avec objectivité et compassion qu'elle l'utilise seulement parce qu'elle se sent impuissante. Si vous pouvez évaluer ce sentiment d'impuissance, vous pourriez transformer cette relation en quelque chose de positif. Par exemple, dites quelque chose pour la flatter devant l'ensemble de la famille, tel que « nous réservons le vendredi soir pour le repas en famille. Ces moments sont importants et nous en avons tous besoin. » Vous lui donnerez ainsi le sentiment d'être quelqu'un d'important et elle se sentira désirée et aimée.
  8. Pensez à votre conjoint et votre enfant. Vous ne souhaitez pas que leur relation devienne difficile à cause de ce que vous auriez pu dire ou faire. Avez-vous besoin d'apaiser les tensions ? De vous mordre la langue ? Parfois, il faut souffrir en silence et rester en retrait pour le bienêtre de tous.

Établir des limites

  1. Fixez vos limites. Vous avez vos limites dans votre relation, à la fois avec votre conjoint, mais aussi avec votre belle-mère. Si ces limites sont franchies et que votre belle-mère ne semble pas avoir saisi l'allusion et si votre partenaire n'est pas en mesure d'évaluer la situation et de vous défendre, vous devez alors vous affirmer pour restaurer l'équilibre. Fixez les limites que vous considérez comme la ligne à ne pas franchir et qui vous font violence dans le cas contraire et faites le savoir clairement.
    • Par exemple, si vous tenez à votre intimité et que vos proches passent vous voir sans prévenir, cela peut être une limite pour vous. Il faut comprendre qu'il est parfaitement normal de satisfaire vos besoins personnels. Ce n'est pas sain de ne pas se sentir respecté dans une relation.
    • Si votre belle-mère passe à l'improviste juste avant votre départ pour le restaurant, dites « ça fait plaisir de vous voir, c'est dommage de ne pas avoir appelé avant. Nous étions sur le départ. Si vous nous aviez prévenus, nous aurions prévu de manger ensemble ». Ainsi, vous envoyez à votre belle-mère le message de prévenir avant de venir.
  2. Verbalisez vos limites. Si vous ne dites rien, elle ne s'arrêtera pas. Et si vous n'êtes pas clair avec votre conjoint sur vos attentes, il peut continuer d'apaiser ses parents à vos dépens. Parlez d'abord à votre conjoint. S'il ne parvient pas à stopper les débordements de sa mère, parlez alors à votre belle-mère.
    • Si vous avez laissé faire pendant des années sans exprimer clairement vos limites, votre belle-mère continuera de vous traiter comme une enfant et ne vous prendra pas du tout au sérieux. Il se peut qu'elle affiche une réaction "choquée", habituellement feinte, alors que vous lui suggérez de modifier son comportement. Laissez-la faire et campez sur vos positions.
  3. Imposez vos limites. Soyez compatissante, mais ferme. Après tout, il y a de grandes chances que vous soyez responsable de son attitude et donc à blâmer pour le fait que votre belle-mère n'a jamais su ce que vous attendiez d'elle. Mais si elle ne répond pas positivement à vos rappels, adoptez une approche non dénuée de sens pour imposer vos limites.
    • Faites-lui savoir que pour les dix jours qui suivent (commencez à 10 et augmentez jusqu'à 20 si elle ne comprend pas le message), vous avez l'intention d'imposer fermement les limites que vous avez décrites. Dites clairement que si elle ne les respecte pas durant ces 10 jours, vous interromprez toute communication pendant 10 jours. Si vous devez agir ainsi, demandez à votre conjoint d'être présent lorsque vous l'annoncerez et dites à votre belle-mère qu'elle ne pourra pas vous contacter durant ce laps de temps. Cela comprend les visites intempestives, les appels, les mails, sauf en cas de nécessité absolue. Une fois les 10 jours passés, imposez à nouveau vos limites et répétez le processus.
    • Informez votre belle-mère que vous et votre conjoint êtes tous les deux engagés dans ce processus et c'est encore mieux s'il lui annonce lui-même. Soyez totalement clair sur ce que vous faites. Par ailleurs, informez-la que vous engagez ce processus, car elle ne vous a pas laissé le choix. Rappelez-lui que vous avez tenté plusieurs fois de lui dire que vous étiez sérieuse et que vos tentatives sont restées sans effet.
  4. Envisagez une autre approche si vous vous sentez mal à l'aise à l'idée de confronter votre belle-mère. Écrivez-lui ce qu'elle a dit ou fait. En agissant ainsi, vous évitez de retourner la situation dans tous les sens et de vous sentir un peu plus en colère contre elle. Après quelque temps, vous aurez une vision plus claire de ses actions et vous aurez conscience des moments où vous étiez seule et qu'elle vous a insulté ou outrepassé ses droits. Vous serez préparée à l'affronter la fois suivante et vous sentirez moins effrayée.
    • Pour lui répondre, choisissez de lui écrire plutôt que lui parler. Si elle fouille dans votre sac, laissez un mot à son intention « ceci n'est pas à vous. Ne fouillez pas dans mon sac à moins que je ne vous y aie invité. » Fermez votre sac à l'aide d'un cadenas. Trouvez des solutions pour saboter ses tentatives de vous espionner ou de vous voler.

Avoir son conjoint comme allié

  1. Exprimez vos sentiments à votre conjoint. Informez votre mari ou votre épouse que la manière dont votre belle-mère vous traite est blessante. Vous avez le droit de partager vos sentiments avec votre conjoint. Ne la critiquez pas (souvenez-vous que c'est la mère de votre époux ou épouse), mais ne la protégez pas non plus. Dites quelque chose comme « ta mère n'a surement pas l'intention d'être blessante, mais ce soir, elle l'était. À l'avenir, si elle dit encore (précisez ce qui vous blesse), j'apprécierai que tu interviennes. »
  2. Sollicitez le soutien de votre conjoint. Votre conjoint vous soutient-il ? C'est très important et cela vous permettra de réussir à gérer votre relation à votre belle-mère. Parfois, vous devez dire à votre conjoint qu'il y a un problème, qu'il soit prêt ou non à affronter sa mère. Soyez clair et faites des propositions qui seront acceptables pour vous deux. Vous avez tous les deux la responsabilité de faire passer votre vie de couple en priorité et cela implique parfois que votre famille d'origine passe en second. Si votre conjoint n'est pas prêt à se positionner face à sa mère pour vous protéger, votre mariage risque d'en souffrir.
  3. Faites comprendre à votre conjoint qu'il doit se positionner. S'il n'est pas prêt à affronter sa famille, vous ne résoudrez jamais le problème. La mère de votre conjoint a déjà démontré qu'elle ne vous respecte pas, qu'elle ne vous reconnait pas. Rien de ce que vous dites ou faites ne changera cela. Si votre conjoint n'est pas prêt à affronter sa mère et à fixer des limites claires et à prendre les décisions qui s'imposent au besoin, vous devrez accepter le fait que vous ne changerez rien à cette relation. Ça peut être une raison de rompre votre union. Si c'est le cas, informez-en votre conjoint avant qu'il ne soit trop tard pour remédier à la situation.

Lutter contre une belle-mère intrusive avec compassion

  1. Soyez compatissant, sans être rude ou en colère. Il existe de nombreuses manières d'envoyer un message avec douceur sans calcul ni manipulation. Le monde est peuplé majoritairement de bonnes personnes avec de bonnes intentions. Votre belle-mère est une bonne personne qui souffre probablement de ne plus avoir la relation spéciale qu'elle a eue un jour avec son enfant. Quelle que soit la raison pour laquelle elle se sent mise à l'écart ou menacée, voyez en elle le bon côté.
  2. Savoir ce qui la guide. Pour cela, essayez ce qui suit :
    • observez-la en tant que personne. Voyez pourquoi elle agit d'une certaine manière
    • comprenez ses besoins en tant que mère
    • comprenez ses besoins en tant que belle-mère
  3. Ne donnez que ce que vous pouvez. Concernant les besoins de votre belle-mère que vous ne pouvez ou ne voulez combler, déclinez poliment en amenant une raison soutenue par une excellente logique.
    • Par exemple, imaginons que votre fille va bientôt entrer à l'école et votre belle-mère pense qu'il vaut mieux telle école plutôt que telle autre. Cela dit, vous n'avez pas le même avis. Dites-lui simplement « j'aimerai beaucoup l'envoyer dans cette école, mais celle que j'ai choisie a de nombreuses valeurs que vous apprécierez surement, comme la bonté, une vie et des activités saines, etc. » De cette manière, vous montrez du respect pour ce qui est important pour elle, mais vous restez celle qui décide.
  4. Répondez à une question intrusive ou à une question qui ne vous plait pas sans donner d'indications précises sur ce que vous pensez réellement. Par exemple, dites « nous réfléchissons encore, qu'en pensez-vous ? » Écoutez-la sans l'interrompre, mais vous n'avez pas à suivre ce qu'elle vous dit. Le choix vous appartient. Vous seul décidez. À moins de l'autoriser, personne ne peut interférer.
  5. Fixez des limites concernant les conversations de manière bienveillante, mais constructive. Si votre belle-mère passe trop de temps au téléphone, réglez votre minuterie sur 10 minutes. Lorsque le minuteur est à 2 secondes, arrêtez-le et dites « j'adore parler avec vous, mais je dois finir mon repassage, nettoyer les toilettes, promener le chien, nourrir les chats, cuire les pâtes pour Paul et faire un gâteau d'anniversaire pour les garçons à l'école. Je suis navrée, mais peut-on se rappeler vendredi vers 10 h, ça serait parfait pour moi. » Respectez le rendez-vous, mais là aussi, limitez l'appel et restez bienveillant.
  6. Proposez quelques règles qui permettent à votre belle-mère d'avoir un temps spécifique avec son fils. Par exemple, vous pourriez instaurer un temps régulier, une fois sur trois. Toutes les trois visites, laissez votre belle-mère seule avec son fils. Allez faire un jogging, faites une course ou proposez-lui de faire ses courses. Ainsi, vous lui rendez visite, mais vous lui montrez aussi que vous n'êtes pas une menace. Elle peut toujours avoir ses moments avec son fils chéri lorsqu'elle en a besoin.

Conseils

  • Vous êtes en droit d'avoir une vie tranquille. Votre belle-mère mérite le respect, mais si son comportement est exécrable, elle ne mérite aucun privilège. Les belles-mères s'imaginent parfois avoir les pleins pouvoirs. Si elle ne mérite pas votre respect, vous avez le droit de vous protéger et de protéger votre mariage en fixant des limites strictes.
  • Vous êtes marié à votre conjoint, pas à votre belle-mère. Naturellement, vous devrez parfois opérer quelques ajustements et modifications, mais aucun de vous ne doit radicalement changer à cause d'une belle-mère dominatrice, agressive ou perdue.
  • Souvenez-vous qu'elle dira et fera ce qu'elle veut. Faites ce qui vous plait, tant que vous ne vous abaissez pas à son niveau.
  • Si vous la suspectez de feindre d'être malade pour attirer l'attention, provoquez-la. « Je suis inquiète de vos vertiges récurrents. J'appelle votre médecin immédiatement pour un rendez-vous. »
  • Ce sujet concerne les belles-mères difficiles à gérer… Les personnes trouvent toujours de bonnes excuses à leur mauvais comportement. Quelle que soit la raison, vous ne pouvez pas changer les autres. Pour vivre votre relation sereinement et en paix, vous devez vous affirmer. De nombreuses belles-mères sont merveilleuses. Cessez de trouver des excuses au mauvais comportement que certaines personnes doivent malheureusement supporter de leur belle-mère et qui ont besoin d'aide pour fixer de solides limites.
  • Songez à avoir une discussion à cœur ouvert avec votre belle-mère. Choisissez bien votre moment. Pensez à ce que vous allez dire. Sollicitez le soutien et les idées de votre partenaire sur le sujet avec un peu d'avance. Si votre belle-mère est insupportable, qu'avez-vous à perdre ?
  • Votre belle-mère, si elle est bien traitée, peut devenir une alliée puissante et bénéfique dans votre vie, ainsi qu'un soutien important dans votre réseau pour votre mariage. Mais vous devrez travailler pour que cela se produise et la communication est la clé. Dites-lui simplement si vous avez besoin de temps pour vous-même ou pour autre chose. C'est seulement lorsqu'elle ignore vos souhaits après lui avoir clairement exprimé que vous devrez prendre d'autres mesures.
  • Parfois, le comportement négatif d'une belle-mère est juste sans raison et sans intention malveillante.
  • Si possible, soyez douce et agréable avec elle. On n'attrape pas les mouches avec du vinaigre.
  • Les belles-mères sont souvent excitées à l'idée de « gagner » une fille ou un fils et en font souvent trop sans arrière-pensées. Soyez compréhensif. Elle est peut-être très excitée à l'idée d'avoir un nouveau membre dans la famille et cherche à s'impliquer pour vous être utile et agréable.
  • Souvenez-vous que vous n'êtes pas responsable de son bonheur. Encouragez-la pour une activité bénévole, à rejoindre un club de lecture ou à s'impliquer dans une œuvre caritative. Elle doit trouver autre chose que votre mariage à contrôler.
  • Campez sur vos positions et ne tolérez aucun abus, verbal ou émotionnel. Si elle dépasse les limites, arrêtez-la en la mettant à l'écart. Ce faisant, vous la remettez à sa place et tout va bien ou alors, elle révèlera sa toxicité. Dans tous les cas, c'est un gagnant gagnant.
  • Évitez les téléphones portables qui peuvent être un objet d'intrusion négative. Si vous changez de numéro, elle enverra quelqu'un chez vous. Établissez les limites et donnez-lui votre numéro professionnel et l'adresse de votre bureau où elle peut vous joindre durant vos horaires de travail.

Avertissements

  • Si rien ne fonctionne, déménagez. Beaucoup de mariages ont été sauvés en optant pour cette solution.
  • Parfois, les belles-mères peuvent être rudes et mauvaises, car elles réalisent que le conjoint est meilleur qu'elles dans la vie quotidienne et elles ne peuvent faire autrement que de se montrer insultantes à l'égard de votre partenaire pour le rendre malheureux, etc. Les belles-mères agissent ainsi pour détruire votre mariage, pour vous empêcher d'être heureux. Une personne heureuse avance et progresse. À nouveau, si votre conjoint n'a pas le pouvoir de changer cela ou d'affronter sa mère ou sa famille, le meilleur choix possible est de vous expatrier et de prier, si vous êtes croyant, car ce genre de personnes ne cherche qu'une seule chose : l'échec de votre mariage. Ils ne changeront jamais, car ils ne sont pas en capacité de rivaliser avec vous.
  • Si votre belle-mère vous attaque verbalement, votre conjoint doit pouvoir vous soutenir. Un coup de téléphone suffit pour lui dire « j'ai entendu ce que tu as dit à mon épouse. Ce n'est vraiment pas gentil et cela l'a blessée. Ne recommence pas. »
  • Si votre conjoint ne vous soutient pas, c'est un signe critique pour votre mariage et votre relation à votre belle-mère. Vous devrez sérieusement réfléchir à l'avenir de votre union.
  • Les belles-mères sont souvent « à l'affut » jusqu'à ce qu'il n'y ait plus personne dans la pièce (y compris leur propre mari qu'elles veulent de leur côté). Ne restez pas seule avec elle. Si vous vous trouvez seule avec votre belle-mère, levez-vous et allez aux toilettes, allez marcher ou faites ce qu'il faut pour vous sortir de là.
    • Il est fortement conseillé d'emmener votre enfant en même temps s'il est dans la même pièce que vous vous apprêtez à quitter. Si vous n'avez pas confiance en votre belle-mère, ne lui faites pas confiance lorsqu'elle est seule avec votre enfant. Ne lui permettez pas de distiller son venin à votre enfant et d'ébranler votre relation.
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